Interrogé par Le Monde, Alain Le Diberder avait estimé que le film était un « brûlot ». Pour autant, il assurait que là n’était pas la raison du rejet du documentaire. « Nous n’avons jamais eu peur de diffuser des films à thèse, se défendait-il. Nous avons retransmis des documentaires sur les problèmes d’intégration des musulmans en France, sur l’islam et Jésus, ainsi que sur les juifs et les musulmans. »
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