A Calais, les associations mettent en cause un arrêté municipal après la mort d’un jeune migrant

A l’approche de l’hiver, les deux associations déplorent « les manquements criants de l’Etat face à ses responsabilités en matière de droits des exilés ». « Entre autres, face à la chute des températures, aucune mise à l’abri pérenne n’existe, ce qui expose les personnes exilées à des risques potentiellement mortels », ont-elles insisté.

Selon les associations, des maraudes et distributions de repas continuent « en s’adaptant » pour les « 400 à 500 » exilés se trouvant actuellement à Calais dans l’espoir de rejoindre les côtes britanniques.