A Calais, les associations mettent en cause un arrêté municipal après la mort d’un jeune migrant

Article réservé à nos abonnés Lire aussi  « A Calais, les gens deviennent fous » : malgré la surveillance policière, les migrants rêvent toujours d’Angleterre

« Ce décès est vraiment symbolique, au moment où la municipalité a voulu écarter les migrants et les bénévoles qui les aident du centre-ville pour des raisons, entre guillemets, d’ordre public », a déclaré samedi à l’Agence France-Presse François Guennoc, vice-président de L’Auberge des migrants. Selon La Voix du Nord, deux rassemblements doivent avoir lieu samedi.