Revenir. Pourtant, comme Khadidiatou, la plupart ne choisissent pas forcément de revenir dans leur pays d’origine. «Ils (les «repats», ndlr) ont développé une vision panafricaine et s’établissent là où il y a des opportunités, une économie dynamique, l’émergence d’une classe moyenne», précise Chams Diagne. Au niveau de Talent2Africa, les destinations préférées des futurs «repats» sont l’Afrique subsaharienne (notamment, à l’ouest, des pays comme le Sénégal et la Côte d’Ivoire) ainsi que le Maghreb. Chez les anglophones, le Niger et l’Afrique du Sud sont très demandés.
«Repats»: le retour des cerveaux en Afrique
