De carnage en tuerie, on voit, des Français nullement d’extrême droite, issus de la société civile, qui dénoncent comme vous ce fascisme islamiste. Et notamment cette tentative des islamistes d’embrigader tous les musulmans dans l’islam rigoristes, salafiste … Vous ne vous sentez pas un peu moins seule ?
La base bouge, bien sûr. On sent une énorme crispation, une peur latente de nouveaux attentats. Dans la rue au restaurant, dans les cafés, les gens avec qui je parle sont préoccupés, anxieux. Et forcément, ils s’organisent. Après les attentats de janvier 2015, on pensait qu’on avait touché le fond, et bien non.