Cela va de pair avec un autre constat, la mixité des contenus envisagée sous l’angle du sérieux. Une infime minorité accepte de qualifier ces infos de sérieuses (6,5% de tous les enquêtés). Même chez les plus chauds partisans de ces réseaux pour s’informer, ce chiffre atteint péniblement 10%. Et si tout le monde s’accorde pour qualifier là aussi ces infos de mixtes (sérieuses et divertissantes), le pourcentage de ceux qui ne les jugent globalement que divertissantes est assez conséquent, oscillant de 15 à 36%.
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