Lorsque Charles-Antoine d’Heilly, le petit-fils de l’ancien propriétaire, a investi les lieux, il eut l’idée géniale d’utiliser la notoriété du site pour mettre en valeur le talent de jeunes artistes de la région. Dès 2011, il proposait à des étudiants de Saint-Luc et des Beaux-Arts d’exercer leur art en réalisant une fresque (évoquant le Carmel de Kain) sur le mur d’enceinte.
Pour l’heure, le projet qui prend forme à l’ombre du square Marie-Louise est soutenu par l’Unia, un service public indépendant développant divers outils pour lutter contre la discrimination et pour promouvoir l’égalité des chances.