Première étape : l’état des lieux
Cette demande était portée depuis quelques mois par Emmaüs via la directrice générale adjointe, Valérie Fayard. Cette dernière se réjouit de cette avancée. « Pour l’instant, rien n’est vraiment précisé, c’est une feuille de route de présentation, mais c’est une bonne nouvelle. L’échéance de 2019 va permettre au gouvernement de lancer un état des lieux de la situation, calculer le nombre de tonnages jetés, les procédés mis en place par les marques, les difficultés… », estime-t-elle.