La Katiba des Narvalos salue donc l’initiative d’Emmanuel Macron et de Theresa May, qu’ils attendent « depuis deux ans », mais restent prudent sur son application. « L’enfer est pavé de bonnes intentions: il faut que des personnes compétentes s’en occupent. Nous, nous avons des propositions techniques et concrètes », glissent-ils.
« L’inconvénient du turbo, ce sont les dégâts collatéraux »
Contacté par L’Express, Twitter décline toute interview: « Nous ne commentons pas les cas individuels pour des questions de vie privée et de sécurité ». Mais le service de presse insiste sur la « force et la profondeur » des « efforts » du réseau social « contre l’extrémisme violent »… Et renvoie vers son « Rapport de la transparence », qui met en avant l’augmentation drastique des suspensions de compte « pour promotion du terrorisme » ces derniers mois: 376 890 entre juillet et décembre 2016.