Si le texte était adopté, ils pourraient alors bénéficier d’une certification sur les réseaux sociaux et être inscrits sur une « liste blanche ». Une protection qui leur éviterait d’être censurés à tort par les outils de détection automatiques.
Twitter ne fait plus rire les clowns anti-Daech
La mesure, qui pourrait paraître anecdotique, répond pourtant à un problème bien réel. Car sur les réseaux sociaux, il n’est pas rare que ceux qui informent et luttent contre l’organisation État islamique, des parodiques aux analystes, soient censurés « par erreur ». Le cas d’Abou Zilleur, un « compte historique » de la Katiba des Narvalos, l’un des principaux groupes parodiques français, est emblématique.