Précisément, l’une des grandes difficultés pour ceux qui tentent de comprendre comment agissent les trolls d’extrême droite, c’est l’anonymat. « Dans cet univers codifié, l’un des éléments fondamentaux du métier se retrouve mis à mal : l’identification des sources. Sur le 18-25 et sur Twitter, personne n’est obligé de dire son nom. Le pseudonymat complique la tâche, d’abord parce qu’il amplifie le « bruit » que font certains usagers plus actifs que d’autres. « Il ne faut jamais oublier qu’ils peuvent donner l’impression d’être quatre cents à s’attaquer à une journaliste féministe, alors qu’en fait ils sont dix-huit », rappelle Corentin Durand », de Numerama.
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