Et le consultant de développer : « L’idée, c’est de créer une organisation neutre, indépendante des pays d’origine, indépendante de ceux qui tiennent aujourd’hui les mosquées, pour prélever une toute petite somme d’argent sur chaque acte de consommation et réinvestir cette somme d’argent dans le travail théologique, parce que c’est la mère de toutes les batailles. »
Cette structure pourrait notamment gérer une « taxe halal », idée maintes fois évoquée depuis les années 1990 pour financer l’islam de France. « Il n’y a pas de ‘taxe halal’ au sens où il y aurait un impôt prélevé par l’Etat », a expliqué l’ancien banquier. Le prélèvement serait géré par l’association et s’inspirerait de la « taxe de cacherout » de la communauté juive, gérée par les rabbinats et qui permet de certifier les produits « casher », a-t-il développé.