Les réfugiés en question, réunis sous l’égide de l’association locale Reestablish Richmond (qui les aide à trouver leurs repères dans cette ville de plus de deux millions d’habitants), sont des femmes, des hommes et des enfants. Certains sont arrivés là y a plusieurs années, quand d’autres débarquent à peine. Tous viennent d’Irak, d’Afghanistan ou de Syrie.
Le site de la synagogue a interviewé Jalal Hashimi avant la tenue de cet événement. Cet Afghan de 32 ans, qui a fui son pays pour échapper aux Talibans, tient un discours certes candide mais qu’on entend peu, aujourd’hui, dans le paysage médiatique américain.