Mais cela ne s’est pas fait sans une traduction biaisée de la part de Barks et ceux qui ont commencé à le faire avant lui. Le New Yorker explique qu’ils ont minimisé l’importance de l’islam dans les textes en anglais, pourtant essentiel dans son œuvre. Espérons donc que le coup de projecteur donné par Beyoncé et le biopic qui se prépare sur le poète apporteront un nouveau regard sur son travail et son approche de la religion musulmane.
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11.06.2019