C’est dans cette « société laïque-scientifique » que l’on peut supprimer le confessionnalisme politique et assurer la survie des « communautés religieuses » ainsi que les libertés des individus.
La solution de la « laïcité douce »
De même, le professeur de philosophie à l’Université libanaise, Mouchir Bassil Aoun, se situe dans la lignée de Bustânî et Nassâr, proposant la « laïcité douce » comme solution non seulement pour la confrontation entre islam et christianisme, mais aussi comme réponse à la crise de la liberté dans l’islam.