Nazis dans le rétro : épisode 2, parlez-moi d’amour

A 17 ans je tombai donc amoureuse d’un Allemand, et je dois confesser que ce n’était même pas le premier. Je l’ai aimé si passionnément qu’il m’a bien fallu le quitter au bout d’un moment car je me serais sûrement consumée dans ces bras comme fond aujourd’hui la banquise, au point de nous conduire vers la fin du monde.

Je suis partie un jour pour ne plus revenir – du moins c’est ce que je croyais. En fait, j’ai fini par le retrouver vingt ans après et il est désormais l’homme de ma vie, m’obligeant à faire de longs trajets à travers l’Europe pour le rencontrer.