Une érotisation malvenue
«Le corps de la femme est toujours sexualisé. Un homme peut se mettre torse nu, même dans des endroits où il n’en a pas le droit et cela ne dérange personne. Mais le corps de la femme, et sa poitrine en particulier, reste un objet sexuel», constate Betty Lachgar, porte-parole du mouvement M.A.L.I. dans le HuffPost Maroc. Les notions de chaleur, de bien-être, de loisir, de plaisir n’entrent pas en ligne de compte, l’homme semble être le jouet et la proie de tentations permanentes dispensées par des femmes (sur)exposées.
Maroc: «sois un homme», «sois une femme libre», la bataille de hashtags
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