L’université d’Al Azhar veut criminaliser la violence perpétrée au nom de l’islam

Cette pratique d’excommunication, hélas courante dans les pays musulmans, est appelée le takfir (voir notre article sur le takfir ici).

Depuis, le prédicateur a été interdit de prêche et la télévision a présenté ses excuses aux « frères chrétiens », mais cette sinistre polémique a laissé des traces.

Les autorités de l’université d’Al Azhar, éclaboussées par l’affaire, ont tenu à réagir. Ce projet de loi visant à interdire les discours de haine au nom de l’islam constitue leur première réponse. Pourvu maintenant que le projet soit voté au Parlement… et que la loi s’applique.