L’article 522 du code pénal libanais concernait différents crimes, tels que les viols, les agressions, les rapts et les mariages forcés. Il stipulait que si « un mariage valide est contracté entre l’auteur d’un de ces crimes et la victime, les poursuites cessent, et si un verdict a déjà été prononcé, son application est suspendue ».
0