J’ai été entraînée dans le salafisme, j’ai été violentée par un mari lui-même embrigadé. Je me suis évadée de cette prison par amour de mes enfants et parce qu’à un moment décisif, j’ai trouvé du travail.
Aujourd’hui, je considère qu’il est de mon devoir, de ma responsabilité de m’engager pour promouvoir les valeurs de la République auprès de ces jeunes, souvent des femmes, tentés par les sirènes d’un Islam dévoyé, radical et hostile à la République.