Elle défend que le désir de Dieu ne peut pas être compris comme un simple besoin de sens, mais qu’il est plutôt un besoin symbolique de relation. Elle considère la soif de Dieu comme un mouvement vers un « autre ». Les théories du complot prennent plutôt les traits d’un repli sur soi, d’une érection des barrières de l’entendement. On voit ici se creuser une faille possible entre la croyance des complotistes et la foi religieuse, du moins en ce qui concerne le ressenti intime du croyant.
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