Croyances absolues et inébranlables, mouvements identitaires, quête de sens, racines historiques… Peut-on dégager des traits communs aux théories complotistes qui pullulent en ligne ? S’inscrivent-elles dans la continuité des discours religieux classiques et peut-on les affilier aux mouvements spirituels qui se sont répandus en Occident au cours des dernières décennies ? Le complotisme est-il une religion comme une autre ? Quatre étudiants du master Innovation et transformation numérique de Sciences Po Paris se sont posé ces questions, dans la continuité de la conférence sur Les nouvelles formes du sacré, organisé le 21 février à Sciences po dans le cadre du cycle de conférences Futurs pluriels, préparées avec Usbek & Rica.
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