L’association « Osons le féminisme » lance une campagne contre le cyberviol

Revendications

  • Education : les femmes sont peu ou mal informées sur le cyberviol et sur leurs droits. Il faut informer sur le fait que c’est un délit, puni par la loi, et qu’elles peuvent porter plainte.
  • Répression : les hommes qui diffusent ces contenus ainsi que les distributeurs des contenus doivent être sanctionnés plus lourdement. La loi existe depuis 2016 mais elle reste trop peu appliquée.
  • Sensibilisation : Lutte contre les cyberviolences, en particulier dans les collèges et lycées.

Chiffres

  • 17 % des lycéennes sont confrontées à des cyberviolences
  • 2 ans de prison et 60 000 € d’amende : c’est ce que risque un agresseur qui commet un cyberviol

Les mots pour le dire