L’association « Osons le féminisme » lance une campagne contre le cyberviol

Les agresseurs évoquent différents motifs, différentes motivations lors qu’ils emploient cette stratégie, alors que rien ne justifie un tel geste. Des conjoints ou pères de familles décident de publier ces images suite à une rupture ; des pères, frères ou voisins alimentent l’industrie du sexe qui pollue notre toile. Humilier, salir, nuire à l’image ou à la crédibilité professionnelle, se venger, faire chanter ou encore s’enrichir sont autant de marqueurs de l’oppression patriarcale dont sont victimes les femmes. Ces cyberviols sont l’illustration de la possession que pensent avoir les hommes sur les femmes, femmes qu’ils punissent parce qu’elles leur échappent.