Si les premiers procès remontent aux années 80, le phénomène s’est accentué depuis 5 ans. A ce moment là on excisait encore les fillettes sur le territoire français, aujourd’hui, ce sont des adolescentes qui sont visées, et l’excision se fait dans le pays d’origine des parents.
Marion Schaefer, déléguée générale de l’association, parcourt avec ses partenaires les établissements scolaires, notamment en Seine-St-Denis. Le jeune public écoute, et questionne.