Zarker a maintenant une épouse iranienne et deux enfants à Amsterdam. Quand il retourne en Iran, il dit qu’il ne s’y sent plus chez lui — sans pour autant se sentir tout à fait chez lui aux Pays-Bas. Il se dit avec humour 60 pour cent hollandais et “40 pour cent moi”.
“Je pense que même si je reste ici plus de cent ans, je ne serai pas vraiment hollandais”, dit Zarker en haussant les épaules. J’essaie de l’être, mais ne le suis pas”.