C’est ce qu’illustre une étude menée en 2012 au sein de quartiers précaires de Bruxelles : les jeunes immigrés ou descendants d’immigrés marocains et africains subsahariens qui y vivent adhèrent massivement à une lecture du monde nourrie de thèses complotistes selon lesquelles des « puissants » œuvreraient dans l’ombre à stigmatiser les immigrés présents dans les pays occidentaux, y compris en organisant des attentats sur leur propre territoire pour les leur attribuer.
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