« On a besoin d’un président valide », a déclaré à l’AFP Ahmed Ouaguemouni, 60 ans, ancien membre de l’opposition algérienne qui vit dorénavant en France.
« Bouteflika, il est toujours à l’hôpital », a-t-il ajouté, tandis qu’un manifestant brandissait un cadre doré vide, symbole de l’absence du président octogénaire à la santé précaire, paralysé et quasiment muet.
Ancien élu régional du parti de l’opposant algérien, Hocine Aït Ahmed, s’interroge :