En Algérie, tous deux forment un couple heureux, et acquis à la cause de l’indépendance. En 1955, Fernand Iveton rejoint l’organisation militaire du Parti communiste algérien. Aux côtés du FLN, il veut se battre pour une Algérie qui accorderait enfin à tous les mêmes droits.
Hostile aux attentats aveugles et meurtriers, il accepte néanmoins de poser une bombe dans son usine de gaz, après la fermeture, dans un endroit isolé où personne ne serait blessé. Il est repéré et dénoncé par un contremaître. Désamorcée, la bombe ne fera ni victimes, ni dégâts. De toute façon, de l’aveu d’un expert convoqué au tribunal, elle n’aurait pas « fait de mal à une grosse mouche ».