Les jeunes sont de plus en plus en contact sur internet avec des propos haineux. Pas seulement racistes mais aussi sexistes, des propos discriminatoires », déplore Isabelle Simonis, ministre belge de la Promotion sociale, de la Jeunesse, du Droit des femmes et de l’Egalité des chances, qui chapeaute le projet. »On s’est dit que c’est peut-être par là que démarre un certain degré de radicalisation », explique-t-elle à l’AFP, mettant en avant un « travail de prévention ». L’idée est de former des jeunes actifs à pouvoir agir « en direct sur la toile », lorsqu’ils se retrouvent confrontés à des discours d’incitation à la haine.