« Ils en ont l’image d’une force répressive, de coercition, du contrôle d’identité… Leur adhésion n’était pas donnée au départ, euphémise dans un sourire Sylvie Kocik, la principale. S’engager dans ce concours était l’occasion de changer leur regard sur la police et réciproquement. » À l’heure d’un regain de tensions dans les cités, après les affaires Adama Traoré et Théo, l’initiative est salutaire.
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10.05.2017