« un monde régi par des plateformes et dans lequel l’éthique aurait une définition et une reconnaissance positive dans leurs CGU, sans attendre un bad buzz de l’opinion, sans s’abriter derrière d’alambiquées formulations. »
Le professeur remarque que ce n’est pas la première fois que PayPal est mêlé à des polémiques. En août 2016, l’association américaine SPLC (Southern Poverty Law Center) pointait que de nombreux « hate groups » (groupe prônant la haine) utilisaient PayPal et que la multinationale n’était pas pressée de faire le ménage.