Choquée par le devoir sexiste donné à sa fille, elle le réécrit de manière égalitaire et inspirante

Lynne Polvino a confié à Today qu’elle avait souvent eu l’impression de ne pas bien gérer les deux, et qu’elle ne trouvait pas que les mères qui travaillaient étaient suffisamment aidées. Si elle a pointé la durée trop courte des congés maternité et paternité et souligné le manque de gardes d’enfants abordables, elle a surtout dénoncé la culpabilisation des mères, qu’elle soit implicite ou explicite. D’où sa volonté de ne pas laisser passer le texte sexiste et culpabilisant que sa fille devait étudier, et sa prise de conscience que les femmes des époques précédentes avaient été des pionnières : « Je leur suis tellement reconnaissante d’avoir ouvert la voie. »