Le cas le plus emblématique est celui d’Anouar Rahmani, étudiant en droit au centre universitaire de Tipasa et également écrivain, subit lui aussi depuis des années des pressions énormes de la part d’associations étudiantes à cause de ses écrits et de ses opinions jugés anti-musulmans et accusé d’athéisme. Des plaintes ont même été déposées contre lui et des pages Facebook de prétendus étudiants ont appelé les responsables de le révoquer purement et simplement des bancs de l’université.
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