Je suis allé à Strasbourg pour rencontrer Marco Nassivera, le directeur de l’information d’Arte, qui m’a dit : “Il faut que vous compreniez que le sujet est très délicat en France. Nous sommes coincés entre les lobbies juif et musulman. C’est la raison pour laquelle la conclusion de ce documentaire doit rester indéterminée.” Je n’ai rien dit, j’ai juste souri, car j’avais besoin de son accord pour continuer le film. »
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