Des cours de français donnés par des villageois volontaires sont rapidement mis en place. « Quand ils sont arrivés à Taizé, ils étaient très heureux d’avoir un lieu pour se reposer, mais ils ont vite demandé de l’aide pour le français pour s’intégrer, trouver un travail et se faire des amis », raconte frère David. Afin de faciliter l’apprentissage du français, certains frères se sont même mis à étudier l’arabe.
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