Avec le nom de votre société, De l’autre côté du périph’, on imagine que votre objectif, dès le départ, était d’apporter un peu de diversité dans le paysage audiovisuel français ?
Tout à fait, De l’autre côté du périph’ c’est finalement dire que, en dehors de Paris, il y a le reste du monde, alors allons chercher de nouveaux récits, des auteurs qui sont pris dans d’autres écosystèmes… Personnellement je viens du 93, mais ça peut être beaucoup plus large. La volonté est de raconter des récits qui sont à la fois universels et incarnés, de personnes qui sont représentatives de la population française.