Mais la vie n’est toujours pas simple pour Ashwaq, comme pour les 3.315 Yazidis qui ont réussi à s’échapper de l’emprise des jihadistes. Autant d’autres sont toujours captifs ou portés disparus, selon les chiffres officiels.
« Toutes les survivantes ont des volcans en elles, prêts à exploser », prévient Sara Samouqi, une psychologue qui suit de nombreux Yazidis. « Ashwaq et sa famille vivent dans des conditions terribles ».