Les témoignages d’autres réfugiés sont régulièrement utilisés tout comme les publications sur les réseaux sociaux par les inculpés eux-mêmes.
– La peur, en Irak aussi –
Ashwaq affirme à l’AFP avoir visionné avec la police allemande les images de vidéosurveillance du supermarché où a eu lieu la rencontre, et dit être prête à communiquer ses coordonnées mais qu’elle ne se rendra plus en Allemagne.
La fille yazidie Ashwaq Haji, qui affirme avoir été réduite à l’état d’esclave sexuelle par un jihadiste du groupe Etat islamique, se rend au temple de Lalich dans le nord de l’Irak, le 15 août 2018 (AFP – -)