Enlevée le 3 août 2014, Ashwaq Haji est parvenue le 22 octobre de la même année à s’enfuir de la maison d’un jihadiste irakien qui se faisait appeler Abou Houmam.
Cet homme l’avait achetée « pour cent dollars », raconte-t-elle à l’AFP, lors d’une visite au sanctuaire yazidi de Lalich, à une soixantaine de km de la ville de Mossoul, dans le nord de l’Irak.
Autour d’elle, ils sont des centaines à commémorer l’un des nombreux massacres subis par cette minorité kurdophone adepte d’une religion ésotérique monothéiste, particulièrement persécutée par l’EI.
– « Je sais que tu es Ashwaq » –