« Cette frappe coordonnée contre la propagande terroriste en ligne s’est principalement concentrée sur la production en ligne de matériaux terroristes par des organes médiatiques affiliés à l’EI et al-Qaïda pour radicaliser, recruter, diriger des activités terroristes », précise Europol dans un communiqué.
A la recherche de nouveaux moyens de communication et de propagande
Selon l’Office européen des polices, les actions menées par plusieurs plateformes en ligne comme Facebook et Twitter ont poussé des sympathisants des organisations terroristes à utiliser simultanément plusieurs plateformes pour diffuser leur propagande. « Ils sont également à la recherche de nouveaux fournisseurs de services pour s’assurer que leurs messages atteignent de potentiels sympathisants », précise Europol.