Comme une grande majorité des Français, j’étais sous le choc des événements survenus plus tôt. Dix morts et deux terroristes. Musulmans. Alors que les voix commençaient à s’élever – « République en danger », « Je suis Charlie », liberté d’expression et laïcité –, je n’arrivais pas à me retirer l’idée qu’au-delà des morts et de leurs proches, les premiers qui allaient souffrir du massacre étaient, bien sûr, les musulmans et les Arabes de France. Et en effet, tous les yeux se sont tournés vers eux dès le 8 janvier – et plus encore le 13 novembre.
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