Pierre Henry rappelle que l’on assiste actuellement à la troisième guerre en Libye « qui fait des centaines de morts et des milliers de déplacés, cette Libye qui torture les migrants. C’est cette situation devant laquelle nous sommes ».
Les États se réveillent « sous la pression médiatique »
Sea-Watch et les ONG qui interviennent en Méditerranée « pallient l’absence de capacité d’intervention maritime des États membres de l’Union », estime France terre d’asile. Il n’y a plus de force maritime. Que les ONG interviennent et se substituent pour une mission de sauvetage des migrants qui partent de la prison Libye, c’est simplement maintenir une humanité commune ».