L’auteur a rappelé également que son « héroïsme », lorsqu’il a sauvé, lors de son exil à Damas, des milliers de chrétiens d’un massacre, relaté par la presse occidentale, fait de lui « une star internationale ».
« Des lettres et des cadeaux lui parviennent de Russie, de France, de Grande-Bretagne. Le président des Etats-Unis lui offre deux pistolets incrustés d’or », a-t-il précisé, soulignant que lorsqu’il était prisonnier en France, son biographe britannique, Charles Henry Churchill, écrivait: « Poussés par des sentiments complexes de curiosité, de sympathie et d’admiration, hommes d’Etat, diplomates et soldats, c’était à qui viendrait rendre hommage à l’auguste prisonnier ».