Pour ce chef, qui avait « l’esprit chevaleresque », Loïc Barrière a relevé qu’il prêchait par l’exemple: « des vêtements pareils à ceux de ses hommes, pas de demeure somptueuse, très peu de biens en dehors des manuscrits et des livres ».
« Il refusait de tuer ses prisonniers, contrairement aux usages de l’époque, et s’est efforcé de les bien traiter », a-t-il rappelé, avant de noter qu’après sa décision d’arrêter ses hostilités avec l’armée coloniale française, « il choisit de mener une vie de reclus et d’ascète ».