« S’il (Emir) vivait aujourd’hui, il s’efforcerait de protéger les chrétiens d’Orient », a-t-il souligné, expliquant que pour le chef algérien, « la notion de miséricorde est essentielle ».
« Certes, il a fait la guerre au nom du djihad, mais il s’agissait pour lui d’une guerre défensive qui interdisait la barbarie », a ajouté le romancier qui a rappelé que l’Emir « est allé jusqu’à proposer au premier évêque d’Alger d’envoyer un prêtre dans sa smala ».