« Un froid samedi soir de mai, et une nouvelle attaque, cette fois à Paris. Un peu plus d’un mois après les attentats de Carcassonne et Trèbes, un terroriste islamiste radical a donc de nouveau frappé. Son geste, revendiqué dans la nuit par l’Etat islamique, constitue une nouvelle preuve que la menace jihadiste n’a pas disparu. Conformément aux craintes, exprimées parfois depuis des mois sinon des années, elle est à la fois le fait de réelles cellules, parfois ambitieuses, et d’individus agissant de façon plus modeste mais pas moins meurtrière. A ce sujet, il serait bon que M. Fauvergue se rappelle des attentats de Barcelone et Cambrils et des fils qui remontent jusqu’en France avant de nous livrer son point de vue. Nous ne sommes nullement à l’abri d’attentats majeurs, et on ne remerciera jamais assez le fameux plombier de Villejuif. »
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