Pourtant, peu de membres de la communauté musulmane font des contre-arguments visibles à leurs déclarations. Il n’y a pas de place dans la mosquée pour un tel dialogue ; toute discussion sur l’extrémisme est interdite, y compris dans la mosquée d’Abedi à Manchester.
« Des imams m’ont dit que certains fidèles de leur mosquée avaient dû arrêter d’en parler, de crainte qu’un informateur n’aille dire que cette mosquée radicalise les gens », explique-t-elle.