Jean-François Leroy veut, lui, souligner une amélioration. Le nombre de jeunes filles mariées trop tôt se stabilise. «Ce phénomène connaît une sorte de plateau et nous ne pouvons que nous en réjouir, même si les chiffres restent effrayants. Mais la culture et l’éducation permettront de faire comprendre que les femmes ne sont pas des marchandises qu’on exploite, qu’on viole ou qu’on épouse. Car dans ces mariages, il n’y a aucun amour. Il n’y a que la domination de la femme par l’homme», martèle-t-il