Aux termes du Netzwerkdurchsetzungsgesetz, en abrégé NetzDG, les entreprises auront d’autre part sept jours maximum pour décider du retrait de contenus plus ambigus.
Le code pénal allemand définit déjà les discours de haine ; cette loi ne crée donc aucune disposition ou définition nouvelles. Elle oblige en revanche les entreprises de réseaux sociaux à faire la chasse aux discours de haine sous peine d’amendes astronomiques. Une première mondiale, susceptible de changer les règles du jeu au niveau planétaire.